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 ♠♦♣♥ Maxeen, The White Devil : « The Life is just a (cruel) Game... » ♥♣♦♠

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3 participants
AuteurMessage
Maxeen
Surveillante du Manoir Loxford

Surveillante du Manoir Loxford
Maxeen


Messages : 13
Date d'inscription : 20/06/2012
Localisation : Sont-ce les ténèbres blancs? Ou bien la lumière noire?

Statut Actuel
Camp: Indifférente et indépendante...
Année d'étude: Sixième année d'étude, mais uniquement pour les examens. Surveillante du manoir Loxford.
Relations:

♠♦♣♥ Maxeen, The White Devil : « The Life is just a (cruel) Game... » ♥♣♦♠ Empty
MessageSujet: ♠♦♣♥ Maxeen, The White Devil : « The Life is just a (cruel) Game... » ♥♣♦♠   ♠♦♣♥ Maxeen, The White Devil : « The Life is just a (cruel) Game... » ♥♣♦♠ EmptyMar 26 Juin - 15:54



« Just an old Game with the Death... »






« Royal Flush... »


Nom : Von Drache comme mon maître, bien qu'auparavant je n'avais aucun nom.
Prénom(s) : Mon maître m'a appelé Maxeen
Surnom : Mes surnoms ? Un seul, d'une grande beauté très... Suggestive : « Démon Blanc »...
Sexe : Même en étant un monstre, je n'en reste pas moins une femme...
Âge : Peut-être 15 ans...
Race : Dhampire, entre l'être humain et le vampire...
Camp : Je ne suis dans aucun camp... Ainsi, je suis indépendante...
Nationalité : Je n'en ai aucune bien qu'ayant été adoptée par un allemand...

Année d'étude : Actuellement en 6e année, bien que je n'assiste point aux cours suite à quelques problèmes...
Problème de Santé : Mon cœur est à droite et il m'arrive de cracher du sang, je suis, de plus, aveugle de l’œil gauche ce qui fait que je perçois mal la perspective de temps à autre. Et pour ne rien arranger, je souffre d'une phobie scolaire... Suite à quelques ennuis dont je vous parlerais dans mon histoire.
Phrase fétiche : « Le tout dépend du Rien mais le rien ne dépend pas du Tout... »
Manie : Mes manies ? J'en ai certes quelques unes, comme le fait de fermer longuement mon œil aveugle ou bien pianoter sur un support, jouant quelques morceaux sans son...
Place au sein de l'école : Ne connaissez-vous pas la rumeur ? Celle qui dit qu'un démon blanc sans pitié garde le Manoir Loxford ? A vrai dire, je suis ce démon. Je suis la surveillante du Manoir Loxford...

Rang :
The White  Devil

« Identity... »

♠♦♣♥ Maxeen, The White Devil : « The Life is just a (cruel) Game... » ♥♣♦♠ 334466MaxeennewBavacopie





« Behind the Poker Face, I am what I am... »


Dénudée, la fille que je regardais semblais être froide, glaciale. Son regard en disait long sur elle : son œil droit, d'un gris métallique, était sans lueur, aveugle. Me transperçant avec son épée de gel, cet œil semblait lire dans mon esprit. Et pourtant, j'étais loin de pouvoir deviner les pensées des autres comme le suggérait cet œil : je ne pouvais qu'en donner l'impression, comme le monstre peut donner l'impression d'être cruel. L'autre œil de cette jeune fille était d'un bleu étrange, aux milles nuances. De l'indigo au turquoise, tout en passant au ciel bleu. Et pourtant, cet œil était loin de refléter la beauté selon moi : juste une mélancolie indescriptible, à peine visible si l'on ne regardait pas cette jeune fille droit dans les yeux. Et pourtant, cet œil aux lueurs capables d'émouvoir le pire des tyrans me semblait laid... Si laid, corrompu par le sang qui le tâchait. A cette pensée, je me souviens d'une chose : l'on disait de l’œil gris de cette jeune fille qu'il se teintait d'un rouge sang brillant lorsqu'elle tuait. Étrange rumeur dont les preuves n'avaient été trouvées. Mais il me sembla que ce fut tâche impossible : cette jeune fille, face à moi, le savait très bien. Car il s'agissait de mon propre reflet, dans ce miroir que j'exécrais, haïssait. Celui qui me rappelait que j'étais le « Démon Blanc » . En réalité, l'œil droit de cette jeune fille était mon œil gauche, et inversement... Les miroirs peuvent être encore plus traître en montrant un direction, et en pensant à un tout autre chemin. Voilà ce que je pensais de ce miroir, en voyant mes deux yeux inversés...
Le miroir, que ne faisait qu'attiser la vanité de l'Homme. Celui qui les poussaient à une superbe sans pareille, à cette envie meurtrière et cruelle, à la colère, mais aussi à une certaine luxure. Oui, j'avais toujours détesté les miroirs qui étaient pour moi la meilleure preuve de la corruption humaine... Mais aussi la corruption de bien d'autres races et espèces.

Je continuais ma description physique, propre à moi même. Propre à un monstre tel que moi. Mon nez, légèrement aquilin, presque hautain. Et pourtant, j'étais loin d'être fière de mon apparence physique, monstrueuse pour moi...
Plus bas, ma bouche. Légèrement pulpeuse, restant fine au niveau de la lèvre supérieur et plus large pour l'inférieur. Une bouche de poupée, bien qu'un peu plus grande. Et pourtant, légèrement rosée, comme ces poupées que l'on pouvait convoiter pour attiser l'envie des autres. Oui, en quelque sorte, je fais partie de ces poupées... Mais je ne fais qu'effrayer les autres afin de remplir mon devoir. Voilà à quoi je sers, pour mon maître. Car ce n'est certainement pas cette « beauté monstrueuse » qui peut l'attirer. Après tout, mon maître n'est pas ainsi. Mais il faut toujours se méfier, ne jamais faire confiance : même au plus beau des êtres il ne faut accorder aucune confiance. De ce fait, les lèvres qui n'ont jamais embrassées personne sont ainsi : digne du plus beau des monstres... Mais pour moi, quelque chose que je voudrais effacer avec ce que je suis...

Je remontais le visage du monstre à la peau pâle, presque blanche. Aucune couleur sur les jours, juste une peau douce et blanche, calme et froide comme la neige. Nullement abîmée par le temps, aucune cicatrice. Les seules imperfections de ce visage capable de faire rêver et cauchemarder les êtres vivants sont sous les yeux de cette jeune fille dans le miroir. Sous son œil bleu, deux grains de beauté se retrouve à la fin de ces amandes aux cils délicats. De l'autre côté, en dessous de l'amande à la prunelle grise métallique, une larme noire, tâche étrange dont j'ignore l'origine. Peut-être était-elle là lors de ma naissance, ou peut-être était-ce après ? Je ne le sais, mais cette marque en forme de larme me donne toujours un air triste, mélancolique, malgré la froideur que prenne mes yeux et mon regard. Aucune marque n'occupe mon front, pas un seul bijou, juste quelques mèches couleur clair de lune...

Oui, mes cheveux sont argentés. Doux comme de la soie et à peine plus larges que des fils d'araignée, ces cheveux semblent être un don. Et pourtant, ils ne font que contribuer à l'apparence du monstre que je suis. Des longs fils d'argent, qui tombent jusqu'au sol. Si jamais je ne les attachais, ils resteraient au sol comme ce matin, à remuer la poussière sur le sol. Un doux sarcasme, lorsque l'on sait que la poussière s'attachant aux meubles et sur le sol est grise. Grise, capable d'être invisible sur des cheveux comme les miens. La seule différence est la brillance : mes cheveux ont toujours des reflets de lumière... Fait très étrange pour un personnage tel que moi. La seule chose qui contraste avec mon apparence en général reste cette mèche noire : mes sourcils, mes cils, mes cheveux et même ma peau son très clairs. Et pourtant, il y a cette mèche noire, intrigante, mystérieuse, sombre et presque arrogante. Il s'agit d'un des seuls liens qui me rattache à mon passé, encore inconnu pour moi. Encore, et toujours. Selon mon maître, mon âme reste aussi pure que mes cheveux sont sombres. Doux sarcasme, venant d'un être qui me hait et qui se contente de m'utiliser à des fins personnelles. Juste une personne qu'il me faut appeler « Père » lors des grandes occasions, mais qu'il me faut appeler « maître » pour le reste du temps. Ses cheveux étaient d'un noir profond, ébène. Les miens étaient aussi clair que la lune. Oui, il me haïssait, comme tous les autres...

Ici, tous le monde me hait. Quelques rares personnes qui ne me connaissent pas sont capables d'être gentilles mais elles finissent toujours par se fier à l'avis des autres, à m'éviter, moi et mes cheveux d'argent. Mon regard les repoussent, mais certains s'accrochent, puis s'enfuient. Dans tous les cas, la plupart des gens avaient peur de moi ou me détestaient pour des raisons leur étant propre. Je ne les hais point. Je ne les aime point. Je reste neutre, indifférente. Voilà la seule chose que je puisse faire en tant que « Démon Blanc » : ignorer les insultes, rester indifférente. Après tout, personne n'est capable de m'attirer. Personne ne peut me changer. Je resterai ainsi, aussi colorée que mes sentiments... Soit froide, glaciale. Comme mes yeux. Seule la mélancolie est capable de m'atteindre, la mélancolie de ces jours heureux que je n'ai jamais connue...

« Miroir, mon haïssable miroir, qui est la plus laide ? » Certainement moi. Mon corps, à présent vêtu de sous-vêtements noirs, semblait encore plus clair. Je n'étais plus que l'ombre de moi-même, un monstre qui devait se contenter de se battre. La douce époque où j'étais encore esclave. Les deux seules et uniques traces de ce temps étaient logées sur mon dos : deux cicatrices, parallèles, placées comme si des ailes m'avaient été arrachées. Juste deux coups de fouet violents, ayant mal cicatrisés. Ce n'était qu'à présent un souvenir : un souvenir aussi doux, chaleureux, et heureux... Comme mon maître que je ne peux supporter mais à qui il me faut obéir. Ces deux traces étaient légèrement noires à certains endroits... Je ne pouvais qu'encore une fois me haïr, moi et ce physique monstrueux. Je me regardais finalement de face, comme tout à l'heure. Je devais vite me préparer...
Un corps svelte, capable de toutes les acrobaties de saltimbanque et autres preuves de souplesse se reflétait. Magnifique ? Beau ? Je ne le pense pas. Horrible pour moi qui ne peux que me haïr, moi et ce physique. Une large gorge, imposante et droite... Je ne l'aimais pas non plus. Si seulement je pouvais tout effacer, ou plutôt m'effacer... Et pourtant, je devais vivre jusqu'au jour où mon maître serait tué : du moins, le jour où quelqu'un l'osera. Mais je ne pense pas être capable de tuer un tel être.

Saisissant des bas d'un gris proche du noir, les attachant aux jarretelles de mes sous-vêtements, puis prenant un pantalon du même gris qui avait été déchiré de sorte à en faire un short ; celui que je mettais habituellement ; je me demandais si quelqu'un allait venir aujourd'hui. Généralement, ce sont des élèves qui tentent de prouver qu'ils sont capables d'affronter le Démon Blanc. Si j'aurais été capable de rire, je le ferai car ils fuyaient toujours avant d'avoir tenter quoi que ce soit face à moi... Dommage, je n'attendais que la mort, à présent. Oui, j'étais désespérée. Finalement, je découvrit de ce pantalon qu'il avait été recousu à une jambe. Une seule. L'autre était restée à l'état de « short » . Passant le pantalon comme à mon habitude, je me demandais si quelqu'un allait s'occuper de mon corps, plus tard. Moi, l'élève « de génie » , une « surdouée » qui à quinze ans était en sixième année... Non, impossible. Cela faisait deux ans que je n'allais plus en cours. Deux ans, suite à toutes ces années de brimades et coups donnés. Non, personne ne se préoccuperait de moi si je venais à mourir.

Cessant de plonger dans ces noires pensées, je vérifiais que mes bas sombres étaient bel et bien attachés. Parfait, comme d'habitude : peut-être étais-je quelque peu maniaque ? A peine. Les seules fois où cette « qualité » se montrait était lorsque je devais nettoyer le sang des gens que je tuais, ainsi qu'avec mes tenues que je fabriquais par moi-même. Les livres bénéficiaient aussi de cette « maniaquerie de sorcière » lorsqu'il me fallait les ranger. Fréquentant la bibliothèque de l'école, il me fallait souvent aider les bibliothécaires qui peinaient pour ranger les livres. A présent, mon rôle en temps que « surveillante du manoir Loxford » ne me permet pas d'y retourner, juste de lire quelques livres de temps à autre... Lorsque la paix se fait sentir et qu'il n'y a personne à chasser.

Je mettais un t-shirt, dont la bretelle gauche en dentelles blanches avait été arrachée, il y a longtemps, lors d'un des premiers complots contre le manoir. Que de souvenirs, auxquels je ne désirais pas penser pour le moment. Je devais vite m'habiller avant que mon maître ne vienne me chercher. Je devais fuir et surveiller le manoir Loxford : c'était assez étrange, mais il s'agissait là de mon quotidien. Bref, j'enfilais ce t-shirt dont seule une bretelle de dentelles blanches et les bords de ce même tissu et couleur contrastait avec l'unique couleur bleu-grise du reste. La bretelle noire de mon soutien-gorge tomba mais je n'y prêta pas la moindre attention pour le moment. Pour compléter ma tenue habituelle, j'y ajoutait une ceinture noire par dessus ce t-shirt, décorée par un bout de tissu rafistolé qui servait de jupe, de la même couleur que la partie unie de mon haut. Je regardais mes ongles noirs : je les avais toujours eut de cette couleur de malheur, et ce n'était pas du verni. A mon plus grand malheur. C'est avec les mains auxquels ces ongles appartenaient que j'ajoutais à ma tenue un corset aux bords argentés. Un corset du même gris foncé que mes bas et mon pantalon. Les lacets qui le retenait à ma taille était noir, situés sur le devant. Il était tout aussi moulant que le reste de ma tenue. Et pour finir, en tant que seul bijou visible, un bout de tissu noir assez large en tant que collier. Les seuls réels bijoux que je possédais était en réalité mes deux boucles d'oreilles, d'argent. Deux petites boules qui ne faisait que décorer ce que je tentais de cacher avec mes cheveux d'argent...
Parvenant à me sortir d'un début de pensées ; comme d'habitude sombres ; je parvins à mettre mes bottes noires, avec des talons. Je n'en avait pas réellement besoin, ce n'était que cinq centimètres de gagnés. A vrai dire, ma taille actuelle ; c'est à dire un mètre soixante-dix environs ; suffisait amplement : j'étais dotée d'une très grande taille malgré mon jeune âge. Pourtant, je sentais que cette croissance s'était presque achevée. J'arrivais bientôt à mes seize ans, ce qui expliquait pourquoi ma croissance commençait à s'arrêter. En effet, chez les femmes, la croissance s'achève vers les dix-huit ans. Par la suite, je ne connais par mon poids : il m'importe peu. Mais je pense être dans la moyenne étant donné que ma taille reste svelte et souple, sans qu'aucun os ne soit visible sous la peau.

Je prenais mon katana : il restait toujours dans son fourreau ; ou du moins en général ; étant donné que personne n'avait osé m'attaquer depuis des années. Quand je le regardais, je me sentais très mélancolique. Comme si il possédait mes souvenirs perdus... Mais je n'en saurais jamais rien. Sa lame noire et fine ne me dirais jamais rien, et son manche d'argent se contenterait d'être tenu par ma main. Son fourreau était aussi noir que la lame, et les bords étaient d'argent. Ce n'était pas un superbe katana, au contraire : ce n'était qu'une vieille lame dont le fourreau était abîmé. Seul l'arme en elle même restait superbe, sans égratignure. Je la prenais à la main, et partie dans une simple mélancolie. Il était cinq heure du matin, et je devais vite partir. Il ne fallait pas que le maître me trouve au sein du manoir.
Je n'étais traumatisée par cet homme, non. C'était juste ces blessures, et la menace continuelle de me faire brûler et torturer. Car je ne pourrais pas mourir et je continuerai de souffrir. Sans cesse...

Je commençais à partir de l'enceinte du manoir. A l'extérieur, je croisais mon maître. Un sourire aux lèvres, toujours aussi élégant. Je m'agenouillais, prouvant ma position par rapport à cet homme. Je ne craignais qu'il me frappe, mais au lieu de ça, il commença à me parler. Je ne voyais pas pourquoi il faisait ça, mais je devais me taire, simplement. Alors, ce maître si cruel, narra mon passé oublié de façon sarcastique. Je ne m'attendais pas à de la pitié venant de sa part : tout ce que je devais faire, c'était de ne pas pleurer ou de montrer la moindre émotion. Les mots sortirent de la bouche de mon maître, aussi innocents que la guerre et le sang versé...




« This is my story : the Story of a Moonlight Girl who became the White Devil... »


« Je suis sûr que tu te souviens encore du jour où je t'ai acheté, sale monstre. A l'époque, tu paraissais tellement jolie, comme le clair de lune. Et pourtant, tu n'es qu'un monstre. Un monstre magnifique, qui m'avait charmé. Tu es toujours aussi svelte, sombre et monstrueusement magnifique, ressemblant à la lune que l'on voit lorsque les nuages s'en vont, lorsque la nuit est noire. Ce jour-là, tout était noir, comme cette nuit que je te décrivais pour argumenter ta magnificence de démon. J'étais partis dans le quartier des esclaves, de sorte à trouver un surveillant pour ce manoir. Tu dois le savoir, des complots commençaient à naître dans ce manoir et il fallait quelqu'un pour espionner la moindre personne susceptible de faire partit d'un de ces complots ou d'avoir l'idée d'en faire naître un autre. De ce fait ; et à la base ; je cherchais une personne d'un certain âge, avec de l'expérience, souple et forte, capable de nous aider. Et pourtant, je suis tombé sous ton charme, toi, une dhampire, très jeune, sans aucune expérience, frêle et fragile. Et pourtant, tu étais si souple, capable de toutes les prouesses physique selon moi... M'avais-tu ensorcelé, vil monstre ?! Je ne sais. Je ne te frapperais pas maintenant pour cela, je tiens juste à te dire pourquoi tu es ici ! Après tout, cela va faire une année que tu as cessé d'aller en cours... Il faut fêter ça ! »

« Fêter ça » ? Que voulait-il dire parce cela ? Je ne voulais le savoir, je ne voulais pas savoir ce que cachait mon passé ! Mais je ne pouvais que rester à genoux, sans le regarder. Je ne pouvais pas le regarder sans son autorisation. Ce serait un affront. Alors, je restais là, à l'écouter. J'avais presque l'impression qu'il divaguait. Et pourtant, il le faisait volontairement, peut-être pour me faire souffrir... Le maître avait toujours été cruel, sauf lorsqu'il dut m'éduquer... Mais je savais qu'il allait parler de ce qu'il l'avait poussé à me haïr, moi, le « Démon Blanc »...

« Mon enfant, au départ, je voulais te faire mienne, mais il me fallait attendre... Tu n'avais que dix années derrière toi, j'avais plus de mille ans et j'avais déjà cessé de compter. De plus, une engeance entre l'être humain et le noble vampire ne pouvait fréquenter une gamine de cet âge ! Il était franc, et dégoûté. Mais avant tout, je devais chercher quelqu'un pour protéger le manoir Loxford. Et comme un ignorant, je t'ai acheté, alors que j'avais plus de mille ans d'expérience. Je me suis laissé aller, t'ai pris dans mes bras, ébloui par ta beauté si cruelle. Je le savais, que tu deviendrais une magnifique jeune femme, mais je n'avais pas imaginé que tu deviendrais un tel monstre... Non, en fait, tu étais déjà un monstre. Je ne te l'ai jamais dit, mais auparavant, tu avais servie à distraire les Hommes... Oui, tu étais un monstre de cirque ! Jouant des tours, ne sachant faire que de pitoyables acrobaties ! Une saltimbanque monstrueuse, dont les ailes furent coupées ! Un pitoyable monstre, sauvé à cause des autorités de l'époque! Un pitoyable monstre dont je suis tombé amoureux, et dont la mémoire avait été perdue... »

Un... Monstre de cirque... Je ne savais que dire... Amoureux... Je ne savais pas que mon maître l'avait été... Une mémoire perdue ? Pourquoi ?! J'aurais certainement paniqué si mon regard avait croisé le sien... Pour moi, cette discussion ne devait rester qu'un triste rêve...

« Ah ! Ma chère enfant ! Mon affection envers toi m'auras perdu ! Mais à quoi bon chercher, à présent, tu n'es qu'un monstre. A l'époque, une fois que tu atteindrais tes vingts années, je comptais te transformer en un vampire parfait. Tu serais devenue un être superbe, bien plus que ce que tu n'es aujourd'hui. Après tout, tu as la beauté, l'intelligence, et l'immortalité t'aurais transformée en déesse ! Mais pour le moment, tu reste le « Démon Blanc » . Peut-être que plus tard, je réfléchirais plus à ton sort. Tu n'as que quinze ans et aujourd'hui je te hais. Oui, mon enfant, je te hais, même si pour le moment tu dois continuer de m'appeler « Père » en public. Et aujourd'hui, cela fera bientôt cinq années que je t'ai achetée. Cinq années à t'entraîner, des années à t'éduquer. Pour ce résultat. Toi, maintenant devenue un monstre. Alors aujourd'hui, je te laisse méditer sur ce détail : tu étais un monstre de cirque, une pitoyable créature ! Sur ce, je m'en vais faire mon devoir. N'oublies pas, pauvre monstre, le tien. Celui de veiller à ce qu'aucun complot ne nous atteigne ! »

Un monstre de cirque... J'étais un monstre de cirque avant d'être achetée par mon maître ? Je me sentais bouillir lorsqu'il passa à côté de moi, toujours agenouillée. Je souffrais en silence, apprenant ces réalités. Pour moi, cela m'avait été caché. Un monstre de cirque, finalement arrachée à ce triste sort par des autorités. Puis vendue, en tant qu'esclave, à un maître ne désirant que mon corps lorsqu'il serait mûr, et qui finalement décida de me donner à cette école pour surveiller son manoir. Je regardais mes mains, tremblantes, puis finis par me relever. Je n'avais plus qu'à faire mon travail, avec ces tristes émotions en moi. Je le devais. Alors j'y repensais... Ce qu'il m'était arrivé, durant ces cinq années. J'y repensais, avec ma mémoire corrompue. Je regardais ce chemin, devant moi, là où ma vie avait commencée : du moins, c'était ce que je croyais...


«  The past... »

Sur ce chemin, j'apercevais une gamine. Elle avait des cheveux d'argent, une frange trop longue qui cachait ses yeux, que je savais bicolores. Elle était accompagnée d'un homme aux cheveux noirs, attachés en queue de cheval, avec des yeux d'un bleu-gris perçant, des yeux presque capables de lire en vous. Un sourire aux lèvres, il semblait heureux de sa découverte, et il se mit à la porter sur ses épaules. Elle avait peur, mais ne le montrait pas. Indifférente, incapable de vouloir montrer quoi que ce soit. Elle ne voulait pas décevoir son nouveau propriétaire, la gamine aux cheveux d'argent. Après tout, il l'avait sauvée, en quelque sorte. Elle avait peur, son cœur battait fort. Extrêmement fort. Et ce « Von Drache » devait le sentir, pour la reposer ainsi sur le sol, délicatement. Il était si gentil, si doux. Justement, trop gentil. Cela allait changer, la gamine le savait.

Durant une année, elle parvint à apprendre le japonais, l'anglais, l'allemand, l'italien et le français. Cela aurait demandé beaucoup plus de temps à une personne dotée de capacités « normales » mais celle qui se fit nommée « Maxeen » n'était pas comme les autres : c'était une dhampire... J'étais mi-humaine, mi-vampire. La gamine apprit ces langues, enfermée dans une pièce. Celui qui voulait qu'elle appelle « Père » était fier d'elle. Mais très vite, après cette année, il voulut se faire appeler « Maître » . Il lui apprit tout ce qu'il fallait : courir le plus vite possible, accélérer ses propres mouvements, se battre. Encore une fois, la gamine apprit très vite, ce qui étonna son maître. Mais peu à peu, il apprit à la haïr, malgré les éloges qu'il en faisait lors des fêtes. Une histoire de fierté. C'est pour cela que la gamine finit par devenir élève à l'académie Loxford, là où monsieur Von Drache travaillait. Très vite, son niveau fut reconnu. Elle était surdouée, et possédait en connaissance deux années de plus que les autres élèves de son âge. Mais les années passèrent, de la quatrième année jusqu'à la première moitié de la cinquième, son niveau commença à intriguer les gens, et son apparence physique à les repousser. Se fabriquant ses propres vêtements, toujours sobres, elle était recluse. Pour elle, la vie n'était qu'un long sanglot car son père la haïssait.

Ne regardant que l'extérieur, commençant à subir l'apogée de la solitude, je commençais à m'absenter des cours. Mon maître me haïssait de plus en plus et faisait en sorte que mes absences répétées n'atteignent pas sa réputation. Je voulais tant partir, m'échapper de cette académie ! Alors que je m'entraînais à me battre, contre un arbre, je cherchais à me défouler. Je n'en pouvais plus. C'était la seconde moitié de l'année. Je n'en pouvais plus : les souries mortes, et autres cadavres de petits animaux ne me dérangeait aucunement. Mais les couteaux, le sang d'humain, le cadavre du chaton disparu d'un élève, et autres pièges et brimades, commençaient vraiment à me marquer. Alors, un jour que j'allais me décider à retourner en cours, je découvris dans mon casier un katana. Soit-disant, un cadeau de mon père. Malheureusement pour l'inconnu qui m'avait offert ce cadeau, je connaissais bien mon « père » , ou plutôt mon « maître » . Alors je que je me décidais à retourner en cours, je vis un de mes professeurs parler à un élève. Lorsqu'il me vit, les deux s'enfuirent en classe et fermèrent la porte... A clef. Je ne pouvais pas aller en cours. Alors j'en conclus que je n'étais plus acceptée en cours. Je me décidais donc à aller dans la cour, puis dans la forêt juste à côté. J'arrivais devant un manoir, et aperçue un homme, grand, aux longs cheveux noirs avec des reflets bruns. Il était grand, avec un charme étrange. Un charme bien plus important que celui de mon maître. Je ne comprenais pas : était-ce lui aussi un vampire ? Alors il m'aperçut, et me fit signe de venir. J'obéis, sans faire de bruit, avec mon habituel pas dansant et discret...

« Bien le bonjour, mademoiselle. Vous êtes bien Maxeen Von Drache, enfant adoptée de monsieur Aaron Von Drache... ? »

Je le regardais... Il avait presque les mêmes yeux que moi, tristes et mélancolique. Je me demandais pourquoi je me sentais si proche de lui... ? Était-ce pour cela qu'il me révéla son identité ? En tout cas, il continua de parler de sa voix calme, mélancolique, presque nostalgique...

« Je m'excuse, j'ai oublié de me présenter : je me nomme Basarab. Ne retenez que ce nom de moi. Mais, mademoiselle, que faîtes-vous ici ? Pourquoi n'êtes-vous pas en cours? »

Je sentais que je devais lui répondre. Moi, qui me sentais si proche de lui. Il ressemblait plus à ce père que j'aurais dû avoir. Il était comme un membre de ma propre famille, celle que je n'ai jamais eut : pourquoi cette impression ? Je me le demandais... Et finalement, instinctivement et sans m'en rendre compte, je me mis à lui répondre, révéler mon identité, ce qu'il m'était arrivé...

« Je suis... Enfin, vous le savez déjà, j'ai été appelée « Maxeen Von Drache » . Actuellement, j'ai quinze ans mais je suis en cinquième année, dans cette académie. Malheureusement et comme vous le voyez, mon physique est très loin d'être attirant et je suis ainsi rejetée, simplement... Victime de brimades... Et je ne veux plus retourner dans cette classe, comme cette classe ne veut pas de moi. J'ai peur... Tellement peur... »

Et je serrai le katana entre mes mains. Même mon « père » me haïssait, alors pourquoi survivre ? Des larmes commencèrent à couler le long des joues de la gamine, comme jamais. Des larmes retenues durant des années...

« Je... Je ne comprends pas pourquoi je vous raconte tout cela, après tout, nous ne nous connaissons pas vraiment... Veuillez excuser mon- ! »

Avant de m'en rendre compte, ce Basarab était en train de me serrer dans ses bras, comme si il me comprenait. Et moi, misérable monstre, je pleurais de plus belle toutes les larmes de mon corps. Je pleurais, montrais mes émotions comme je ne l'avais jamais fait. Cet homme, ce vampire, était de loin le plus loin le plus proche de moi. Je le sentais comme un père, et je sentis que c'était lui qui m'avait offert ce katana. Alors, je l'entendis prononcer des mots en chuchotant... Doux, chaleureux...

« Ne t'en fait pas, mon enfant... Je parviendrais à te faire sortir de cet enfer : tu participeras aux examens car je sais que tu peux le faire, mais tu n'iras pas en cours. Non, tu surveilleras le manoir Loxford... »

Je ne sais comment, mais Basarab parvint à tenir sa promesse : étrangement, mon maître avait comprit la situation et avait fait en sorte que je surveille ce manoir. De ce fait, je fus considérée comme la « surveillante du manoir Loxford » malgré les désavantages que cela entraînait. Mais j'étais bien plus heureuse ainsi, puisque je restais toujours à l'extérieur, presque libre. Les seules chaînes me retenant en ces lieux sont due au devoir qui m'incombe, mais cela ne me gêne nullement. Pour moi, ma liberté était là, à l'extérieur. Mais jamais je n'ai revu ce Basarab, ne sachant quel fonction occupe cet homme. Mais un jour, je le retrouverais et pourrais enfin le remercier...


«  But now... »

Mais aujourd'hui, je suis là, à repenser à ces vagues brides du passé. Je suis là, à regarder ce chemin, celui par où je suis arrivée... Et peut-être celui par lequel je partirais. Du moins, je l'espérais. Après tout, à quoi bon rester ici plus d'un an ? Après tout, j'étais en sixième année grâce à Basarab, et ce sans contrainte. Je n'allais dans les bâtiments de l'académie que pour y chercher des suspects. Toujours ces complots, toujours des suspects. Tout simplement. A présent, je ne pouvais que me battre pour protéger le manoir Loxford des intrus et passer un peu de mon temps libre à attendre ce Basarab, parler avec lui, et pourquoi je me sentais si proche de lui... Encore plus proche qu'avec mon propre maître, celui que j'appelais « père » il y a de cela des années, et encore aujourd'hui lors de grand événement. Il ne me frappe presque plus, hormis lorsque je reste trop de temps dans ma chambre. Un jour, je parviendrais à m'enfuir...

D'ici là, je regarde les étoiles tout en me demandant ce qu'il adviendra de moi, d'ici quelques années. Le rôle de surveillante du manoir est pour le moment trop grand pour que je puisse m'absenter : il y a encore des complots qui naissent et je ne cesse d'en apprendre. Actuellement, je n'entends pas parler de mort ou de menace donc je n'ai nul besoin de m'inquiéter concernant le directeur, il n'y a pas de trace de complot. Jusqu'à aujourd'hui, aucun n'a put arriver à son apogée ou jusqu'à aboutissement. Je ne sais si c'est grâce à moi ou quoi que ce soit d'autre, mais toujours est-il qu'à présent la « légende » du « Démon Blanc » s'est suffisamment répandue. Seuls les élèves les plus stupides viennent pour accomplir des paris qui, tout comme les complots, n'aboutissent pas. Les élèves fuient lorsqu'ils m'aperçoivent ce qui arrange l'administration ; et c'est certainement pour cela que je garde actuellement mon rôle dans l'établissement. Mais ma situation reste la même, depuis cette demi-année : je ne gagne aucun salaire pour ma besogne, car l'argent que je suis censé garder va à mon père. On peut en conclure qu'il profite de moi à ce sujet, et pourtant je ne lui en veux pas. Après tout, il m'a élevé, m'a tout apprit. Mes aptitudes au combat ne sont qu'un approfondissement de cet apprentissage. Et pourtant, je lui en veux, mais uniquement pour des raisons qui ne concernent que moi. Car je considère l'argent comme une chose futile : les hommes vivaient très bien avant, sans argent, et lorsque le troc était à son apogée. A présent, tout se déroule grâce à l'argent, et les Hommes sont corrompus jusqu'au bout.

Un livre entre les mains, un certain « Dracula » de Bram Stocker, je comptais lire tranquillement dans la forêt juste devant le manoir. Après tout, entre les cinq et huit heures, personne ne vient. Seul mon maître, ayant un rôle important, vient en ces lieux librement. Nul besoin de contrôler son identité, son aura unique est presque palpable. Il n'est d'aucun camp et ne s'en préoccupe pas. Ce qu'il m'a dit, il y a un instant, ne me troublait à présent plus. Pour moi, ce n'était qu'un rêve. Je n'avais plus qu'à lire, tranquillement, en attendant un peu... Ce livre avait l'air passionnant... Au pire, je n'aurai qu'à jouer aux cartes...!


    Viendrez-vous jouer au jeu de la vie, Invité ?



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Dernière édition par Maxeen le Sam 17 Aoû - 23:30, édité 9 fois

« Behind the Mirror : the Gamer... »

Comment avez-vous découvert ce forum ? : Suite à une discussion sur un tout autre forum...
Quelle était ta première impression en venant ici ? : Je ne ferais pas d'analyse concernant le forum...
Aimez-vous le design ? : Ni du design...
Des suggestions à fournir ? : Tout d'abord, augmenter la taille de l'écriture qui reste pour mes yeux quelques fois illisible, notamment sur le contexte qui est déjà très long. Cela n'encourage pas la lecture et force l'invité ou le membre à bâcler cette lecture et à ne pas connaître l'histoire aussi bien qu'il le devrait...
Quel est ton prénom ? : Suite à une bien trop célèbre chanson, je ne le révélerais pas.
Autre : Je suis navrée, ma présentation reste tout de même très courte.
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Kurenai Kyūketsuki
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Kurenai Kyūketsuki


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MessageSujet: Re: ♠♦♣♥ Maxeen, The White Devil : « The Life is just a (cruel) Game... » ♥♣♦♠   ♠♦♣♥ Maxeen, The White Devil : « The Life is just a (cruel) Game... » ♥♣♦♠ EmptyMar 26 Juin - 16:03

Han j'ai une larme qui s'échappe. Très bien validée !
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Ashiro Akame
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Première chose à dire... Je crois que ta présentation à un effet néfaste sur le positionnement de l'avatar de Kurenai, ou elle a eu un problème elle-même. Bref. Les lignes à fournir sont largement respectés, c'est très riche, le vocabulaire employé l'est aussi et ton style d'écriture est très intéressant.

Tu fais peu de fautes, voire quasiment aucune, pour te le dire sincèrement, j'ai voulu les chercher, et je ne suis tombé que sur quatre à cinq erreurs grand maximum, sur une présentation qui fait surement dans les neuf pages word. Je dis donc chapeau bas sur cette magnifique prez' qui est très attirante. Ce dialogue entre toi et ton "père" pour l'histoire nous plonge directement dans son caractère et l'on peut bien voir la scène qui est produite par ce style, je n'en ai pas perdu une miette, je n'ai même pas voulu lire en diagonal tellement c'était sublimement bien écrit. Il en ai de même pour les descriptions, hormis le blanc (ivoire.) sur noir qui m'a pété les yeux, j'ai accroché ; le style qui intervient ici est particulièrement bien mis en oeuvre ; le fait de parler de quelqu'un d'autre qui n'est en fait que lui-même à cause d'un miroir est très bien pensé.

Le seul bémol que je pourrais te dire, c'est le fait que tu ne raconte pas précisément ta vie avant que tu sois pris en tant que "fille adoptive" de Von Drache, même si tu fais des allusions au cirque. Ce n'est pas extrêmement grave puisque tu détail bien les évènements de ta vie passé avec ce noble, et il n'est surement pas nécessaire de détailler la vie d'une jeune fille de dix ans dans un cirque.

Bref, sur mes bonnes paroles *Oui, je dis toujours de bonnes choses xd*, je te valide officiellement : Validé !
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